Le garçon souffla quelques instants après son épuisante ascension. Il laissa porter ses yeux sur le paysage.
« Ouah !! La vue… »
Il s’extasia un moment sur le décor qui s’offrait à lui ; Le parc national de Joshinetsu tout de blanc maculé s’étendait devant lui surplombé d’une fine couche de brume.
« C’est bon les vacances ! »
(Bon, un peu de sérieux, j’suis pas venu là pour rien. Si je place le C4 ici, ça devrait pouvoir créer une avalanche qui anéantira leur base en un rien de temps.)
Lee plongea sa main dans la paroi enneigée, se recula un peu pour jauger la masse qu’il venait de percer du poing. Il hocha la tête, décrocha son snowboard qu’il avait accroché dans son dos, s’assit face à la pente pour chausser. Il regarda sa planche.
(Aller, je compte sur toi, emmène-moi à la vitesse de la lumière.)
Il prit sa respiration et ferma les yeux.
(BOOOOUM !)
Sans se retourner, le detroitien s’élança en ligne droite dans la descente. Vingt mètres plus bas il envoya voler une grande vague de neige sur le coté en prenant son premier virage bien sèchement pour pénétrer dans une partie plus touffue du versant. Il slaloma entre les arbres à toute vitesse faisant croitre l’adrénaline en lui, puis il s’engagea sur un petit à-pic qui formait comme un petit tremplin naturel. Dans les airs, il se retourna pour imaginer l’avalanche qui le poursuivait et dans un timing parfait, il lança ses jambes par-dessus sa tête et se réceptionna dans le sens de la pente quinze mètres plus bas. Il se recroquevilla sur lui-même pour accroitre sa vitesse. Plus loin il vit deux skieurs en contrebas.
(Hé hé ! Vous pensiez m’avoir si facilement !)
Le jeune garçon tendit sa main en lui donnant la forme d’un revolver.
(BANG ! BANG !... Ce ne sera pas pour cette fois-ci !)
Il continua sa descente à toute vitesse pour échapper à son imagination, déterminé, il esquivait tous les obstacles sans jamais ralentir. Lorsqu’il arriva sur un terrain qui s’aplanissait légèrement, il risquait de perdre trop de vitesse alors il bifurqua nettement pour sortir des pistes et profiter de descentes plus excitantes. La poudreuse détalait sous sa planche donnant forme à de grosses vagues de neige qui tombait sur le flanc de la montagne. Il dut sauter pour passer au dessus d’un rocher et chuta de dix mètres à la verticale derrière ce rocher. La poudreuse était là pour amortir sa chute mais à son grand étonnement il passa au travers et se retrouva sur sa planche en déséquilibre sur une abrupte pente de glace, difficilement, il reprit le contrôle en moulinant frénétiquement des bras et se permit de redresser la tête. Il se trouvait dans une sorte d’immense caverne dont les parois étaient de roc et de glace d’immenses stalactites et stalagmites jaillissaient telles des colonnes sauvages. Lee descendit encore quelques mètres avant de se retrouver sur le plat. Il déchaussa son snowboard et le raccrocha dans son dos avant de parcourir la caverne des yeux.
Ok, pour l’avalanche je crois que c’est bon, mais ou j’suis tombé ?)
L’américain sortit son téléphone portable et utilisa la lumière de son flash en mode permanent pour s’éclairer. Il vérifia le niveau de sa batterie et se rassura. Quatre barres, il pouvait tenir au moins douze heures. Il s’élança dans l’exploration de la grotte.
(Si ça se trouve, J’ai mis la main sur une base secrète qui sert à fabriquer des armes nucléaires… Hé hé !)
Lee s’adossa à une grosse stalagmite transforma sa main droite en pistolet et la serra contre son cœur. Puis il jaillit d’un coup pointant devant lui ses deux bras pour éclairer et tenir en joug avant de se précipiter pour atteindre la stalagmite suivante et de s’y adosser afin de reproduire le même procédé. Il fit cela trois, quatre fois en s’enfonçant dans les entrailles de la montagne.
Cette fois-ci, il fit la même chose, mais les deux bras tendus, il éclaira et pointa de son arme imaginaire sur quelqu’un qui semblait être subitement apparu juste devant lui. Sous l’effet de la surprise, Edward poussa un gémissement, tomba sur les fesses et resta bouche bée, de grands yeux fixés sur la personne qui se tenait debout face à lui.
« Ouah !! La vue… »
Il s’extasia un moment sur le décor qui s’offrait à lui ; Le parc national de Joshinetsu tout de blanc maculé s’étendait devant lui surplombé d’une fine couche de brume.
« C’est bon les vacances ! »
(Bon, un peu de sérieux, j’suis pas venu là pour rien. Si je place le C4 ici, ça devrait pouvoir créer une avalanche qui anéantira leur base en un rien de temps.)
Lee plongea sa main dans la paroi enneigée, se recula un peu pour jauger la masse qu’il venait de percer du poing. Il hocha la tête, décrocha son snowboard qu’il avait accroché dans son dos, s’assit face à la pente pour chausser. Il regarda sa planche.
(Aller, je compte sur toi, emmène-moi à la vitesse de la lumière.)
Il prit sa respiration et ferma les yeux.
(BOOOOUM !)
Sans se retourner, le detroitien s’élança en ligne droite dans la descente. Vingt mètres plus bas il envoya voler une grande vague de neige sur le coté en prenant son premier virage bien sèchement pour pénétrer dans une partie plus touffue du versant. Il slaloma entre les arbres à toute vitesse faisant croitre l’adrénaline en lui, puis il s’engagea sur un petit à-pic qui formait comme un petit tremplin naturel. Dans les airs, il se retourna pour imaginer l’avalanche qui le poursuivait et dans un timing parfait, il lança ses jambes par-dessus sa tête et se réceptionna dans le sens de la pente quinze mètres plus bas. Il se recroquevilla sur lui-même pour accroitre sa vitesse. Plus loin il vit deux skieurs en contrebas.
(Hé hé ! Vous pensiez m’avoir si facilement !)
Le jeune garçon tendit sa main en lui donnant la forme d’un revolver.
(BANG ! BANG !... Ce ne sera pas pour cette fois-ci !)
Il continua sa descente à toute vitesse pour échapper à son imagination, déterminé, il esquivait tous les obstacles sans jamais ralentir. Lorsqu’il arriva sur un terrain qui s’aplanissait légèrement, il risquait de perdre trop de vitesse alors il bifurqua nettement pour sortir des pistes et profiter de descentes plus excitantes. La poudreuse détalait sous sa planche donnant forme à de grosses vagues de neige qui tombait sur le flanc de la montagne. Il dut sauter pour passer au dessus d’un rocher et chuta de dix mètres à la verticale derrière ce rocher. La poudreuse était là pour amortir sa chute mais à son grand étonnement il passa au travers et se retrouva sur sa planche en déséquilibre sur une abrupte pente de glace, difficilement, il reprit le contrôle en moulinant frénétiquement des bras et se permit de redresser la tête. Il se trouvait dans une sorte d’immense caverne dont les parois étaient de roc et de glace d’immenses stalactites et stalagmites jaillissaient telles des colonnes sauvages. Lee descendit encore quelques mètres avant de se retrouver sur le plat. Il déchaussa son snowboard et le raccrocha dans son dos avant de parcourir la caverne des yeux.
Ok, pour l’avalanche je crois que c’est bon, mais ou j’suis tombé ?)
L’américain sortit son téléphone portable et utilisa la lumière de son flash en mode permanent pour s’éclairer. Il vérifia le niveau de sa batterie et se rassura. Quatre barres, il pouvait tenir au moins douze heures. Il s’élança dans l’exploration de la grotte.
(Si ça se trouve, J’ai mis la main sur une base secrète qui sert à fabriquer des armes nucléaires… Hé hé !)
Lee s’adossa à une grosse stalagmite transforma sa main droite en pistolet et la serra contre son cœur. Puis il jaillit d’un coup pointant devant lui ses deux bras pour éclairer et tenir en joug avant de se précipiter pour atteindre la stalagmite suivante et de s’y adosser afin de reproduire le même procédé. Il fit cela trois, quatre fois en s’enfonçant dans les entrailles de la montagne.
Cette fois-ci, il fit la même chose, mais les deux bras tendus, il éclaira et pointa de son arme imaginaire sur quelqu’un qui semblait être subitement apparu juste devant lui. Sous l’effet de la surprise, Edward poussa un gémissement, tomba sur les fesses et resta bouche bée, de grands yeux fixés sur la personne qui se tenait debout face à lui.