6 heures...il est l'aube, une nouvelle journée commence, encore une journée similaire à toutes les autres, à toutes celles qui ont précédé.
Ce n'est donc pas sans une certaine lassitude qu'Uriel ces leva et se traîna jusqu'à la fenêtre de sa chambre, il contempla le ciel, les doux rayons du soleil formaient une bande rougeâtre à la cime des arbres de la forêt du domaine.
Revenant à ces esprits, Uriel repenssât à son emploi du temps de la journée : pour commencer, cours de tennis puis suivaient les cours de piano, les cours de français, d'histoire, d'écriture et de toutes ces choses qu'il se devait d'apprendre. La journée fut donc une longue suite de professeurs et peu de temps afin de s'évader. Ce n'est que vers 16 heures qu'il lui fut enfin permis de faire ce qui lui plaisait.
Uriel ce précipita donc dans la forêt du domaine et s'arrêtait en son centre, là où se tenait le plus grand arbre et se mit à méditer, son esprit commence à partir vers des contrées lointaines se mêlant aux vacarmes des souks du moyen-orient, gravit les montagnes les plus hautes d'aises se dirigeassent vers les chaudes soirées de Rio. Il se sentait presque libre, presque heureux. Son monde se limitait presque essentiellement au domaine depuis sa plus tendre enfance seule les livres et son esprit lui permettaient de s'évader.
Ce n'est donc pas sans une certaine lassitude qu'Uriel ces leva et se traîna jusqu'à la fenêtre de sa chambre, il contempla le ciel, les doux rayons du soleil formaient une bande rougeâtre à la cime des arbres de la forêt du domaine.
Revenant à ces esprits, Uriel repenssât à son emploi du temps de la journée : pour commencer, cours de tennis puis suivaient les cours de piano, les cours de français, d'histoire, d'écriture et de toutes ces choses qu'il se devait d'apprendre. La journée fut donc une longue suite de professeurs et peu de temps afin de s'évader. Ce n'est que vers 16 heures qu'il lui fut enfin permis de faire ce qui lui plaisait.
Uriel ce précipita donc dans la forêt du domaine et s'arrêtait en son centre, là où se tenait le plus grand arbre et se mit à méditer, son esprit commence à partir vers des contrées lointaines se mêlant aux vacarmes des souks du moyen-orient, gravit les montagnes les plus hautes d'aises se dirigeassent vers les chaudes soirées de Rio. Il se sentait presque libre, presque heureux. Son monde se limitait presque essentiellement au domaine depuis sa plus tendre enfance seule les livres et son esprit lui permettaient de s'évader.